Joëlle Esso a commencé à dessiner dès la maternelle. Son intérêt pour les métiers du livre date de son enfance car son père possédait une imprimerie à Douala dans les années 1970. Aussi quand elle quitte le Cameroun pour poursuivre ses études en France, c’est tout naturellement qu’elle s’inscrit de 1985 à 1988 au Lycée technique d’art, dessin et métiers du livre, du nom de Rue Madame à l’époque, aujourd’hui Lycée Maximilien Vox, à Paris.
“C’est un projet qui mijote en moi depuis quelques années ; agacée par l’image misérabiliste de l’Afrique véhiculée par les médias, avec toujours des enfants pieds nus, au gros ventre, mourant de faim etc ; j’ai eu envie de raconter mon Afrique, celle d’une enfance insouciante à Douala dans les années soixante-dix, à travers le quotidien de l’école primaire Petit Joss”. in Journalducameroun.com
Pour en savoir plus et également voir le reportage qui lui avait été consacré dans "un monde de bulles".